Fiche d’identité
Nom : Mizuri
Prénom(s) : Yûko
Surnom(s) : Mia ( cf personnage de Mia Wallace )
Sexe : féminin
Groupe sanguin : O+
Age : 17ans
Date de naissance : 25/06/89
Lieu de naissance : Paris
Signe astrologique : Cancer
Genre : 
Taille : 1m70
Poids : 47kg
Description physique : Mon mélange d’origines Franco/Japonaise me donne un physique qui ne passe pas inaperçu. J’ai récupéré du japon une silhouette maigre et élancée, et ces cheveux noir épais, au carré, avec frange coupée nette. On me voit tout droit sorti de Pulp Fiction, d’où le surnom Mia. De l’occident, j’ai les grands yeux noir et la peau pâle. Mes lèvres sont rouges et ornées d’un anneau métallique côté droit. Oreilles droites percées 4 fois, la gauches seulement 3. J’ai les poignets fins, les os du bassin et les clavicules marqués.
Look : plutôt grunge en France, j’ai du me faire a l’uniforme au Japon. Je n’abandonne pas pour autant mes vieux jeans bien usés et mes T-shirt noirs, souvent trop courts. Quitte rarement ma veste rouge, que je ne prêterais pour rien au monde, et mes écharpes démodées depuis longtemps.
Caractère : Mélange femme/enfant, tiraillée entre une prise de conscience brutale de la sale réalité et une envie de rêver sans cesse … Beaucoup de problèmes relationnels due à mon enfance (que je n'évoque jamais, aucun besoin de la pitié ), autant dire que je n’aime pas beaucoup les gens. C’est pourquoi je me balade la plupart du temps avec des écouteurs dans les oreilles pour me détacher du monde qui m’entoure. Agressive et froide aux premiers abords, je suis persuadée d’être facilement sociable avec qui saura partager mon univers. J’aime être seule, et pourtant rien n’est plus réconfortant pour moi que la chaleur de la foule anonyme. Comme celle des concerts ..
Suis-je une contradiction vivante ?
Qualités : toujours ponctuelle même si je n’ai jamais de rendez-vous avec personne. Je suis quelqu’un d’emphatique, un peu trop peut être… Cultivée et qui ne se laissera plus jamais marcher sur les pieds.
Défauts : cynique ( yark yark ) , fainéante, trop franche (c’est quoi le tact déjà ? xD), imprévisible, rancunière, impatiente, paranoïaque, pessimiste, susceptible et égoïste. Maux de ventre fréquents.
Talents particuliers : collectionne les vinyls des années 60/70 et les outils chirurgicaux. Suits des cours de batterie et est capable d’avaler 2kg d’escargots d’un coup suivit d’un milk shake à la fraise sans vomir.
Bref résumé de sa vie : Mon père, jeune japonais nommé Tomoo Mikuri, part à Paris pour ses études. Il y rencontre ma mère, charmante étudiante, et se marient ensemble deux ans plus tard. Installés en province, ils mènent une vie calme et ont leur premier enfant, mon frère, Katsuo. Petit garçon sans histoire, entré dans « un rang d’enfants tous très sympa, dont les principaux passes temps sont le scoutisme et le bénévolat ». Ma mère retombe enceinte. C’est moi qui arrive. Katsuo a alors 7ans. Mais peut de temps après ma naissance, ma mère fait une dépression. Mon père est perdu, il n’arrive plus à s’occuper de nous. Mon frère me rejette la faute.
Je grandis, insouciante.
A 10 ans Katsuo est envoyé en psy pour avoir immolé notre chien.
Ma mère est à l’hôpital. Je grandis, insouciante.
A 14ans Katsuo fait son premier coma éthylique.
Ma mère est à l’hôpital. Je grandis, insouciante.
A 16ans Katsuo est envoyé en maison de correction pour m’avoir tabassé.
Ma mère décède. Je réalise.
Mon père s’est arrêté de parler pendant deux ans. Je me suis donc élevée toute seule. Durant 5 ans, on a essayé de continuer les choses comme si de rien n’était. «Ca va ? – Oui très bien je n’ai aucun problème» Puis un soir, je rentre du lycée et je vois mon père qui range ses affaires. « Tu fais quoi papa ? » Un des rares moments de communication. « J’ai reçu une lettre de la maison de correction de ton frère. Il s’est suicidé. Je ne peux plus rester ici. On retourne a Tokyo. » TOKYO ??? C’est inconnu pour moi, même si je parle la langue grâce à mon père, enfin ça peut pas être pire qu’ici … J’arrache mes posters, récupère ma veste rouge qui a appartenue a ma mère, quelques cartons de fringues, quelques cartons de cd et me voilà parti.
C’est ainsi que je débarque ici. Dans votre lycée, avec votre culture inconnue, vos uniformes étranges.
Battle royal ? Ca me laisse une chance de recommencer ma vie a zéro.
Relations avec d'autres élèves de la classe : pour l’instant inexistante, je viens d’arriver dans la classe. Quelqu’un me fait une place ?
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Sujet: Yûko Mizuri 